Un homme remplissait les sacs, environ dix par minute, un autre chargeait sept sacs sur le chariot et les transportait au magasin. Fabriqués en toile de jute, les sacs étaient rendus à l’usine après utilisation car ils appartenaient à l’entreprise ; quand ils revenaient vides, un des rares travaux réalisés par des femmes consistait à les rapiécer.